Architecture du musée
Ce qui caractérise le musée est tout d’abord son architecture créée par Daniel Liebeskind. Cet américain fut le lauréat du concours pour le choix de l’architecture du musée.
Stèles juives
Bâtiment imposant situé sur la Lindenstrasse, a ouvert ses portes dès 1999
Son édifice, tout en brisures, zigzags et arêtes, évoque une étoile de David brisée.
Son édifice, tout en brisures, zigzags et arêtes, évoque une étoile de David brisée.
La façade extérieure demeure aveugle, même si le bâtiment compte 280 fenêtres, plutôt considérées comme des meurtrières. Il est impossible d'y déceler le nombre d'étages qu'il comporte.
Dans le jardin se dresse un monument à la Shoah : un groupe de 49 colonnes.
Ce sentiment de malaise gagne en acuité lorsque l'on rentre à intérieur du musée. Intitulé "Between the lines", l'intérieur est un étrange agencement de couloirs et de salles, qui nous a fait ressentir des vertiges et un sentiment d'étouffement.
Le musée juif a une exposition permanente, retraçant les deux millénaires de la communauté juive à Berlin et en Allemagne.
Dans ce lieu on peut y voir des photographies montrant les actes commis par les nazis sur les juifs et tous ceux qui s’opposaient a eux ; des livres sacrés de la religion juive, des objets, des vêtements, des statuts de personnes importantes tels que des philosophes … , beaucoup d’explication sur leur tradition, leur mode de vie , le crime contre l’humanité qu’ils ont subis.
Kippas customisées
Vide de la mémoire
Ce bâtiment est construit en béton brut de couleur sombre, très haut. Quand on y rentre on ressent de la peine, de l’angoisse et de la peur. Il faisait très froid, noir, l’impression d’enfermement et le vide nous troublaient. Cette architecture bien pensée par l’architecte nous a bien fait ressentir l’absence d’êtres humains.
Le couloir des villes
Tout le long du couloir on voit le nom des villes où ont migré les rescapés juifs des camps.
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